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Peut être utilisé pour injecter de l'oxygène (micro et macro) dans un maximum de 2 cuves. Il est facilement transportable.

Il peut être utilisé pour injecter de l'oxygène (micro et macro), il a un minimum de 4 sorties et peut être upgradé jusqu'à 96 sorties en ajoutant des extensions. Il se fixe au mur.

Il peut être utilisé pour injecter de l'oxygène (micro et macro), il a un minimum de 6 sorties, peut être upgradé pour augmenter les nombres de sorties et peut avoir une fonction de "contre-pression d'azote", pour éviter les remontées de moût dans les lignes d'oxygène sur les grandes installations. Il se fixe au mur.

La micro-oxygénation consiste à introduire de très petites quantités d'oxygène dans le vin de manière continue. Elle est généralement mesurée en millilitres d'oxygène par litre par mois (ml/L/mois).
L'objectif principal de la micro-oxygénation est d'assouplir les tanins, de diminuer l'oxydabilité, de gagner en gras et de réduire les arômes indésirables. Elle peut être réalisée au cours de la fermentation après le pic de fermentation, entre la FA et la FML et après la FML afin d'affiner le travail de l'élevage.
La macro-oxygénation consiste à introduire ponctuellement une grande quantité d'oxygène dans le vin. Elle est dosée en milligramme/litre (mg/l). L'objectif ici est d'oxygéner les levures en utilisant le bon débit d'apport qui prend en compte la vitesse de consommation des levures. Ce type d'apport peut également être utilisé pour réaliser des microcliquages avant la mise afin d'éviter les retours réducteurs en bouteille.

Il faut considérer que chaque phase d’apport d’oxygène ne va pas avoir le même effet et objectif.

Premièrement, l’apport sur moût de blanc ou rosé permet de diminuer le risque d’oxydation dans le temps, de lutter contre le vieillissement prématuré des vins, de diminuer les produits de collage tout en conservant le potentiel aromatique du moût.
Sur vin, le travail de la micro-oxygénation peut démarrer en fermentation, après le pic de fermentation jusqu'à 80% d'avancement. Cette période s’avère très intéressante pour la construction du vin.

En résumé, voici les différents types d’apport pratiqués lors de l’élaboration des vins ainsi que leurs objectifs:

Au niveau des apports ponctuels (macro-oxygénation) , on apportera l’oxygène sous cette forme essentiellement durant la FA pour couvrir les besoins métaboliques des levures et en élevage ou en préparation à la mise en bouteille pour diminuer le caractère réducteur ou éliminer une légère réduction.

Pour les apports continus (micro-oxygénation), ils auront lieu en pré-FML pour construire l’ossature du vin et modifier de manière importante son profil alors qu’en post FML, il s’agira plus de finaliser le profil par petites touches.

Pour plus de détails, n'hésitez pas à nous contacter.

La dose va dépendre de l'objectif souhaité, du niveau de maturité de votre vin, de la sensibilité à l'oxygène du cépage vinifié, du niveau de concentration du vin ainsi que du moment d'apport. Les doses peuvent varier de 5 à 100ml/L/mois. Vivelys a intégré l'ensemble de ces paramètres dans ces outils afin de vous guider dans l'utilisation de la micro-oxygénation en toute sécurité.

Oui, il peut être parfois nécessaire d'apporter de l'oxygène avant la mise en bouteille. Il est capital, surtout si la quantité d’oxygène apportée pendant l’élevage a été importante. En effet, en apportant de l’oxygène de façon continue au vin, on renforce sa résistance à l’oxydation, mais en contrepartie l’arrêt de l’apport est suivi d’un retour « Réducteur » plus ou moins important. Un ou plusieurs petits apports ponctuels vont ainsi permettre de diminuer l’impact de ce retour et surtout de caler le niveau d’ouverture souhaité.