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Revues de presse
Auteur : Marion BAZIREAU
Du nouveau sur le front des Brettanomyces ! A Dijon, on observe qu'un sulfitage à 0,5 mg/l de SO2 actif ne suffit pas à éliminer de fortes populations ; chez Vivelys, on montre qu'elles détruisent les notes de grillé et de torréfaction issues du chêne.
Inspiré des observations de la société Vivelys, l'Oenocentre de Pauillac débute les prélèvements à la fin de la véraison. Les déterminations analytiques sont complétées depuis le début par la dégustation des baies des parcelles suivies. La quasi totalité des dégustations confirme l'information déduite grâce aux analyses deux à trois
semaines plus tôt.
Auteur : M. L.
2016 : un été très sec, des petites baies, beaucoup d'hétérogénéité, mais une bonne cinétique des sucres, avec un arrêt de la concentration en sucre précoce, mais avec déjà un très beau potentiel.
Auteurs : Séverine CROS, Anaïs HOUETTE-CASSOU, Lisa SAINT-GERMAIN, Jean-François GILIS
Les résultats de cette étude mettent en évidence un nouvel effet négatif de la présence de Brettanomyces dans les vins en cours d'élevage. En effet, en plus des conséquences classiquement décrites, ces levures contaminantes peuvent dégrader ou transformer certaines molécules recherchées lors des opérations de boisage. Le profil boisé d'un vin semble être modifié avant même que Brettanomyces n'ait commencé à produire des composés volatils odorants tels que le 4-éthylphénol.
Auteur : Sylvain FESSARD
Tout est parti d'un constat commercial : les rouges d'Anjou-Saumur sont en perte de vitesse - en terme de volume - et ne percent pars sur les marchés extérieurs. D'où l'idée pour les responsables des AOC et de la Fédération viticole de l'Anjou de s'interroger sur les causes, même si certaines étaient déjà parfaitement identifiées, en faisant appel à un regard extérieur, avec Patrick Ducourneau de la société Vivelys. Ce dernier n'est plus dans la boucle, mais le travail s'est poursuivi avec l'entreprise montpelliéraine et les autres acteurs de la filière, apportant leurs expertises.
Auteur : IRSTEA
Accélérer le développement économique de l’agriculture grâce au numérique en s’appuyant sur un tandem enseignement/recherche innovant voici le projet du nouvel institut Convergences #DigitAg. Sélectionné en juillet par l’ANR, le projet a officiellement démarré le 1er janvier 2017. Focus sur les premier pas d’une nouvelle forme d’innovation scientifique dont l’ambition est de devenir la référence mondiale pour l’Agriculture numérique.
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